Voyage Iquique. Séjours et information.
Géographie, climat, sites, histoire, musées et monuments, hôtels, transports, circuits.
SITUATION GÉOGRAPHIQUE D’IQUIQUE
Iquique a un nom qui signifie lieu de repos en Aymara. Située à 310 km d’Arica, c’est la plus importante ville du Nord du Chili. Elle s’étend sur une étroite bande littorale entre l’océan Pacifique et la Cordillère de la côte qui atteint 600 m de haut à l’est de la ville, et retombe à pic à l’ouest. C’est une ville balnéaire avec une alternance de côte rocheuses et de plages de Cavancha, Larga, Brava ou Huaiquique. Elle est surplombée par le mont Dragon, une dune de sable de plusieurs kilomètres de long d’où s’élancent souvent les parapentes pour profiter d’un beau point de vue sur toute la ville.
Premier port de pêche du Chili, Iquique est classée zone franche en 1975, ce qui lui donne une nouvelle impulsion économique. La grande zone franche Zofri la transforme en un pôle d’échanges commerciaux où ne cessent de transiter des marchandises électroniques ou de luxe. Cette mesure a surtout permis la création de nombreuses entreprises dans toute la banlieue de la ville.
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CLIMAT D’IQUIQUE
Iquique subit le climat désertique du littoral ; elle est souvent couverte de nuages mais il pleut très rarement. Tempérée par l’influence du courant d’Humboldt et des entrées océaniques, la ville bénéficie d’une faible amplitude thermique. En été, sa température double et elle devient l’une des villes les plus chaudes et humides du littoral du pays. Les températures sont de 12 °C minimum et 13 °C maximum en juillet pendant l’hiver, tandis qu’elles sont entre 18 °C minimum et 24 °C maximum en février lors de l’été. Voir notre fiche : Quand partir au Chili.
HISTOIRE D’IQUIQUE
Dès 1788, une douane est installée à Iquique pour contrôler les produits transitant de Valparaiso. La ville est occupée en 1842 par le général bolivien José Ballivián lors de la guerre entre le Pérou et la Bolivie. Iquique prend vraiment son essor avec l’âge d’or du salpêtre qui attire de nombreuses entreprises d’Europe et des États-Unis dès 1830. Le 26 juin 1855, elle obtient le titre de port de première importance. Un chemin de fer est inauguré le 28 juillet 1871 pour faciliter les échanges des sites d’exploitation miniers au port. Alors à l’apogée de son développement économique, le port d’Iquique est soumis à un blocus de son port à cause de la Guerre du Pacifique. Ces tensions géopolitiques président à la bataille navale du 21 mai 1879, suivie du bombardement chilien du 16 juillet de la même année. La ville devient chilienne lors du traité de paix d’Ancón en 1883.
La ville abrite des mouvements sociaux et politiques contestataires. En 1891, elle est le siège de la Junta Révolutionnaire qui s’oppose au président José Manuel Balmaceda. En 1907, elle est durablement traumatisée par le massacre de l’Escuela Santa María, quand l’armée ouvre le feu sur ordre du président Pedro Montt Montt sur 8500 ouvriers de mines de salpêtre qui manifeste pour une amélioration de leurs conditions de travail. Iquique a joué un rôle majeur dans la naissance du mouvement ouvrier chilien ; le Parti Ouvrier Socialiste, qui évolue plus tard en Parti Communiste national, y naît le 4 juin 1912 dans les locaux du journal Le Réveil des Travailleurs.
Après le déclin de l’industrie du salpêtre, Iquique devient le premier port d’exportation de farine de poisson, et continue à vivre de l’exploitation de mines de cuivre, ainsi que du commerce généré par la zone franche ZOFRI créée par le gouvernement Pinochet au même moment que l’aéroport. La ville profite aussi du tourisme, encouragée notamment par sa nomination comme Capitale Américaine de la Culture en 2001.
QUE VOIR À IQUIQUE
LA PLACE CENTRALE ARTURO PRAT
La place centrale Arturo Prat est dominée par la tour de l’horloge, devenue le symbole de la ville d’Iquique. Le bel édifice du Théâtre municipal se dresse à côté. Non loin, la rue piétonne Baquedano permet d’admirer la meilleure part de l’architecture traditionnelle d’Iquique, caractérisée par des maisons aux façades en bois peint de couleurs pastel. Parmi les édifices les plus impressionnants, le Palacio Astoreca possède un beau mobilier Art Nouveau et le Casino espagnol s’est inspiré du style mauresque.
LE MUSÉE RÉGIONAL D’IQUIQUE
Le musée Régional Anker Nielsen est installé dans l’ancien palais de justice d’Iquique depuis 1960, au numéro 900 de la rue Baqueano. Il offre une collection archéologique qui comprend notamment deux momies de la culture inca, identifiées comme une princesse inca et sa suivante enterrées sur le Cerro Esmeralda.
Une autre partie émouvante de la visite du musée Régional est l’histoire des mines de salpêtre du Nord du Chili, retracée au travers d’objets de l’époque comme des vêtements de mineurs, des outils, des cartes, des balances ou des registres de sites d’extraction comme Don Guillermo d’où provenait la majeure partie du minerais transformé dans les usines de Santa Laura, Humberstone, Iris, Huara, Pozo Almonte et Piragua.
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MUSÉE CORVETTE ESMERALDA
En descendant vers le port, le quartier historique se démarque par son ponton couvert, près duquel fit naufrage la célèbre frégate chilienne Esmeralda pendant la guerre du Pacifique. Le bateau musée occupe tout près de là l’ancien siège des douanes, et présente des vestiges de la bataille naval d’Iquique survenue le 21 mai 1879 parmi d’autres faits de guerre chiliens. La cathédrale et le marché du port sont les deux autres lieux d’intérêts de ce quartier pittoresque.
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LE PORT DE PÊCHE D’IQUIQUE
Le port de pêche d’Iquique est le plus important du pays, avec environ le tiers de la pêche du Chili. L’activité de transformation est également importante, avec plus de la moitié de la production nationale de farine et d’huile de poisson. La visite est pittoresque avec les bateaux colorés alignés dans la baie, et les lions de mer qui s’étirent sur la côte.
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LA PLAGE CAVANCHA
Les jours de forte chaleur, la plage de Cavancha sera votre meilleure amie. Longue de 2,87 kilomètres et jonchée de parasols colorés, cette plage offre aux baigneurs la possibilité de profiter de la mer au seuil de la frénésie de la ville. La meilleure période pour profiter d’un bon bain de soleil est de janvier à avril.
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LE MARCHÉ CENTENARIO
Le marché est érigé sur l’ancienne place Manuel Montt, où eurent lieu les massacres de l’Escuela Domingo Santa María en 1907, conséquence d’un conflit entre le gouvernement qui tente de maintenir l’ordre et la classe ouvrière qui réclame de meilleures conditions de vie et de travail. Il fut construit en 1930 et constitue aujourd’hui un incontournable de la ville d’Iquique, aussi bien pour les locaux que pour les voyageurs curieux de découvrir la gastronomie du nord du Chili. On y trouve une centaine de stands variés, parmi lesquels des légumes frais, une multitude de viandes, fuits de mer et poissons, des fleurs, ou encore des restaurants de cuisine traditionnelle chilienne.
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LE MUSÉE HISTORIQUE MILITAIRE
Le musée Militaire Historique d’Iquique propose au visiteur une collection d’objets de guerre datant de la guerre du Pacifique (1879-1884), qui opposait le Chili à l’alliance Bolivie-Pérou. Le visiteur pourra y découvrir les objets du quotidien des soldats durant la campagne de Tarapacá : fusils, carabines, munitions, vêtements militaires. Fondé en 1998, ce musée est une initiative de la sixième division de l’armée chilienne dont le but est de rendre hommage aux soldats qui ont donné leur vie pour la patrie.
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FÊTES À IQUIQUE
FIESTA DE LA TIRANA, VILLAGE DE LA TIRANA
Le 16 juillet de chaque année a lieu la Fiesta de La Tirana dans le village de La Tirana, situé à 72 km d’Iquique. Celui-ci accueille des milliers de pèlerins venus rendre hommage à la Virgen del Carmen. Cette fête religieuse et populaire, la plus importante du nord du pays, trouve ses origines au XVe siècle.
FIESTA DE LA TIRANA CHICA, IQUIQUE
Deux semaines plus tard, les pèlerins se rendent cette fois dans la capitale régionale, la ville d’Iquique pour la Fiesta de la Tirana Chica. Outre la messe et les temps forts religieux, les groupes de danseurs et les festivités populaires rythment la fête.
Pour Noël, Iquique accueille des chars allégoriques qui jettent des bonbons aux enfants massés sur les trottoirs de toute la ville. Cette tradition qui a été lancée par une intiative inviduelle aux années 1960 fait désormais partie du paysage culturel de la ville.
DANS LES ENVIRONS D’IQUIQUE
LES OASIS DE PICA et MATILLA
Les oasis de Pica et Matilla, à l’est d’Iquique, sont les vergers de la région. On peut admirer des plantations soignées de bananiers, goyaviers, orangers,… Les citrons de Pica ont parcticulièrement bonne réputation. La visite de Pica est aussi une destination champêtre agréable, qui permet de découvrir des thermes et un musée paléontologique avec des reproductions de dinosaures en grandeur nature.
VALLEE DE CAMIÑA
Il s’agit d’une révélation dans cette région d’aspect désertique. Cette vallée parsemée de villages agricoles est un plaisir pour les yeux. On y observe des montagnes multicolores ainsi que des scènes de la vie paysanne. Le village de Camiña est aussi le point de départ pour aller voir la laguna Roja. La piste est particulièrement difficile. Elle nécessite non seuelement un bon 4×4 mais également un guide local connaisseur du correct chemin.
PARC NATIONAL ISLUGA
Isluga est le nom d’un beau village de l’Altiplano, mais également celui d’un volcan encore actif. L’attrait de cette région est paysager, mais également culturel grâce à des chapelles typiques récemment restaurée par la “Fundación Altiplano“. Les autres villages de la zone possédant une jolie église sont Taipicallo, Cariquima et Colchane. Deux monuments naturel valent également le détour dans la zone d’Isluga, le geyser de Puchuldiza et le salar de Coipasa. Ce dernier se situe en Bolivie, mais on peut l’observer depuis une colline au nord du village de Cariquima.
HUMBERSTONE ET SANTA LAURA
Du côté de la pampa, les excursions sur les sites aujourd’hui désaffectés des mines de salpêtre invitent à un voyage dans le temps. Humberstone, une ville fantôme où subsistent les édifices publics fastueux de l’époque, permet de se rendre compte du dynamisme entraîné par l’exploitation du salpêtre au XIXe. Juste de l’autre côté de la Panaméricaine, Santa Laura permet de visiter une usine bien conservée, et comprendre les procédés industriels alors employés.
LE GÉANT D’ATACAMA
À 85 km au nord d’Iquique et à 15km de Huara, se trouve le Géant d’Atacama. Ce géoglyphe couvre un versant du Cerro Unita. Il s’agit de la figure anthropomorphe la plus grande au monde : 86 m de hauteur, sur une superficie de 3000 m² ! Le géant d’Atacama représenterait une divinité réalisée entre 1000 et 1400, si l’on en croit la représentation d’un bâton de commandement et d’ornements en plumes au niveau des genoux ; on n’en sait guère plus. On peut en tout cas l’observer au sol, contrairement aux mystérieuses lignes de Nazca, au Pérou. Le géant est entouré d’autres figures géométriques et zoomorphes.
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LE VILLAGE DE HUARA
Huara est un village d’environ 2.700 habitants, situé entre les villes d’Iquique et Arica, sur la route Panaméricaine n°5, au croisement avec la route internationale n°15 qui mène à Colchane et à la Bolivie. Historiquement, le village fut créé en 1880 afin d’être un centre administratif pour les industries du Salpêtre. On y trouvait de nombreuses connexions de chemins de fer, des postes de télégraphes, et des centres d’administration civile. Le village comptait alors environ 7.000 habitants, attirés par les différents services de la ville et la bonne connexion ferroviaire. Durant la guerre civile chilienne de 1891, le village de Huara fut le théâtre d’une bataille opposant les congressistes et le gouvernement chilien. Au cours du XXème siècle, plusieurs villages furent rattachés à la commune de Huara, comme Negreiros en 1970 et Pisagua en 1979. La station ferroviaire, déclarée monument national en 1991, offre au visiteur une fenêtre sur l’histoire de la commune.
LE VILLAGE DE POZO ALMONTE
Pozo Almonte est une petite ville située à 50 kilomètres d’Iquique. Le village tient son nom d’un dénommé Almonte qui, durant l’époque coloniale, avait installé un “pozo”, c’est à dire un puits, amenant l’eau à ses habitants. Ainsi, d’abord surnommé “los pozos de Almonte”, le village de Santísimo Sacramento a finalement adopté le nom actuel de Pozo Almonte. Le village était populaire dans la région de par sa provision d’eau, mais aussi grâce au passage du chemin de fer qui joignait Iquique à la Bolivie. Du haut de ses 7.000 habitants, la ville de Pozo Almonte a une culture riche, avec sa propre chaîne télévisée, de nombreux commerces, son orchestre philarmonique, ou encore son propre club de football qui a disputé des championnats nationaux.
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CIMETIÈRE PAMPINO, VICTORIA
Le cimetière Pampino (qui signifie « de la pampa ») de Victoria se situe à 115 kilomètres et 1 heure 30 de route de la ville d’Iquique, sur la route Panaméricaine 5 en direction du sud. Il était à l’origine le cimetière des habitants du village minier de Victoria, attenant de sa mine de salpêtre. Celle-ci a fonctionné de 1945 à 1979, avec un déclin à partir des années 1950. À son apogée, le village comptait 9.000 habitants, et on y trouvait également : un hôpital, un marché, un théâtre, des installations sportives dont un stade, une piscine publique et des clubs sportifs, des écoles, un commissariat, un bureau de poste, un studio de radio locale, une brigade de pompiers, entre autres. Aujourd’hui, malgré la fermeture de la mine, le cimetière est toujours en fonctionnement, les anciens habitants de Victoria manifestant le souhait de revenir à « la Pampa ».
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SITE DE CHACARILLAS
La Quebrada de Chacarilla se situe à 50 kilomètres au sud-est de la ville de Pica. C’est un site connu car des empreintes de dinosaures ayant une importance considérable pour la science y ont été découvertes en 1962. Ces empreintes datent du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur, autrement dit, remontent à 150 ou 100 millions d’années.
Pour accéder au site, il est recommandé d’avoir un véhicule 4X4 et d’être accompagné d’un guide. Le meilleur moment pour y aller est en début d’après-midi afin de pouvoir admirer les empreintes de manière optimale.
QUE MANGER À IQUIQUE ?
LE THON
LA spécialité de la côte Pacifique au Nord du Chili, le thon ! Cette région est une zone importante de pêche: il faut dire que dès le IXe siècle, les Changos étaient sur le pont !
RESTAURANTS : OÙ MANGER À IQUIQUE ?
Le long de la côte, les rues perpendiculaires à l’avenue Arturo Prat Chacon sont riches en sympathiques petits troquets de bord de mer il n’y a que l’embarras du choix pour se régaler de fruits de mer et poissons.
Le restaurant El Wagon offre l’atmosphère d’une ancienne maison de bois pour savourer une paella marina Chucumata ou la pêche du jour accommodée à la sibayana ou à la chanavaya.
Le Tercer Ojito se démarque surtout par sa carte de desserts, dont la glace au fruit de la passion.
Le restaurant du Casino Español. Outre sa cuisine à la fois chilienne et internationale, l’endroit vaut le détour pour son cadre exceptionnel. De la façade aux peintures d’époque, tous les éléments de cet édifice érigé en 1904 témoignent de l’opulence passée d’Iquique.
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Le restaurant Neptuno. Le restaurant Neptune est l’adresse parfaite pour les amoureux de fruits de mer à la recherche de recettes traditionnelles. Ouvert jusque tard, il s’agit de l’adresse idéale pour profiter d’une belle promenade digestive au clair de lune, le long de la plage qui est à quelques mètres.
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Le restaurant et bar Gavina Sens. Les grandes baies vitrées du restaurant et bar Gavina Sens offre à tout voyageur de passage le mélange parfait entre Pacifique et gastronomie. Vous y trouverez ce que la cuisine locale a de meilleur à offrir, autant en termes de produits frais de la mer que de mariages de vins chiliens. Pour les soirées plus tardives, vous pourrez ensuite profiter du lounge bar où il sera difficile de choisir entre les différents cocktails proposés.
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BARS : OÙ BOIRE UN VERRE À IQUIQUE ?
THE CLINIC
Situé non loin du port, ce bar chaleureux rappelle les pubs: cadre boisé, bières de qualité à déguster entre amis et concerts en live.
CHIRINGUITO CAVANCHA
Du sable, des palmiers, de jolis éclairages, et une belle vue sur la mer : une recette de charme concoctée par le bar Chiringo Cavancha. Il s’agit de l’adresse idéale où boire un verre entre amis, en couple ou en famille.
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COMICS BAR MUSIC
Pour les amoureux de bande dessinées, le Comics Bar Music est “the place to be”! Vous y serez accueilli par Spiderman en personne, et vous pourrez y déguster de délicieuses tapas ou un bon repas.
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EL VIEJO CLIPPER
El Viejo Clipper est un bar charmant non pas tourné autour d’une “vieille tondeuse”, comme le suggèrerait votre traducteur, mais d’un navire ancien. Ainsi, comme son nom l’indique vous pourrez vous immerger dans une gastronomie marine le temps d’une soirée grâce à l’éventail de propositions de fruits de mer dans le menu.
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HÔTELS : OÙ DORMIR À IQUIQUE ?
L’hôtel Terrado Arturo Prat se dresse sur la place centrale de la ville d’Iquique, à côté de toutes les commodités et à un kilomètre de la plage Cavancha. Il permet de se reposer des excursions de la journée, en sirotant un des excellents cocktails du bar, en profitant du sauna ou de la piscine. Le restaurant aussi est l’une des meilleures adresses de la ville.
L’hôtel Casa Baquedano se situe à la fois près de la plage et des centres d’intérêts de la ville, notamment les musées. Son ambiance chaleureuse et moderne en fait un lieu idéal pour un peu de repos après votre journée de visites.
L’hôtel Huarango Eco-Retreat se trouve dans le désert, dans la commune de La Huayca, à environ 80 kilomètres d’Iquique. Son concept très ancré dans l’écologie et la symbiose avec son environnement lui permet de limiteu maximum son impact sur la nature environnante, notamment gràce à ses différentes utilisations de l’énergie solaire, jusque pour la cuisson des aliments ! Son fondateur, un géologue, propose également des tours géologiques de la zone.
L’hostería del Salar del Huasco est située au pied du salar du même nom. Propre, fonctionnel et confortable, ce logement aux allures de refuge vous assure un séjour inoubliable en pleine nature.
TRANSPORT : COMMENT SE RENDRE À IQUIQUE ?
Des liaisons aériennes quotidiennes rattachent Santiago à l’aéroport Diego Aracena d’Iquique en deux heures et demie. Certains vols relient aussi Arica à Iquique en 45 minutes. L’aéroport se trouve en bord de mer à 38 km / 40 mn au sud de la ville.
En venant du Nord, Iquique se situe à 307 km d’Arica, soit 4 heures maximum en voiture. En venant du Sud, Iquique se trouve à 430 km d’Antofagasta via la belle route 1 entre cordillère et océan. La Route 5 nord permet enfin de relier Iquique depuis Santiago en 1790 km, soit plus de 24 heures, en traversant une partie du désert d’Atacama.
NOS EXEMPLES DE CIRCUITS PASSANT PAR IQUIQUE
Le désert d’Atacama du nord au sud, d’Arica à Copiapo : un autotour passant par des lieux colorés et fantastiques où personne ne va encore !
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Un grand parcours dans l’Atacama, Uyuni et l’extrême nord du Chili : paysages extraordinaires, en autotour au Chili et avec chauffeur-guide privé en Bolivie.
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